Le Ramadan du Cochon Hallal

Friday, September 21, 2007 +++ voter pour cet article

Suite à nos courriers SITA, la Dépêche du Midi diffame le Blog du Cochon Hallal et l'avocat Alexandre Parra-Bruguière

réponse de la rédaction du Blog du Cochon Hallal à la rédaction de la Dépêche du Midi
SITA tous payssynthèse des blasons islamisés de Champs-sur-Marne et de ToulouseUn journaliste, fort heureusement anonyme pour sa réputation et signant J.-L. D.-C., a commis un des plus grotesques articles régionaux de l'année. A la date du 22 septembre, l'article est encore disponible en ligne.

Le journal la Dépêche du Midi nous apprend que la présidente d'une de ces nombreuses associations qui se qualifient de "citoyennes" aurait prévenu l'avocat que son nom circulait sur “les blogs d'une internationale d'extrême-droite assez nébuleuse.” Le quotidien poursuit en précisant que “Sur des sites tels que le “cochon hallal", l'auteur qui prend le pseudo d'« Imam Grouik Grouik », donne la marche à suivre pour intimider ceux qui feraient le jeu des musulmans et des Arabes.

Dépêche du Midi Alexandre Parra-BruguièreManifestement le journaliste n'a pas pris la peine de venir jeter un coup d'œil par chez nous ou a de graves problèmes de lecture : nous blâmons, nous louons et nous informons, mais nous ne cherchons pas à intimider, nulle part, jamais. Pour l'action SITA dont il est question (mosquée de Toulouse Les Izards), trois autres destinataires sont suggérés, dont la conseillère municipale en charge du problème, or aucun ne s'est senti intimidé. D'autre part, l'article n'est pas d'Imam Grouik-Grouik mais de Muezzin Baravin... Par ailleurs, nous aimerions bien savoir sur quels éléments concrets se fonde le journal pour nous taxer d'“extrême-droite”. L'article laissant enfin entendre que nous serions “islamophobes et ouvertement racistes”, contre-vérités manifestes doublées d'insultes caractérisées, alors nous disons nous aussi que trop c'est trop et nous en informons le procureur de la République à Toulouse.

L'action, qui date du 23 août 2007, est consultable sur à http://grouik-grouix.blogspot.com/2007/08/mosque-de-champs-sur-marne-mosque-de.html.

Nulle part le muezzin Baravin n'appelle à intimider l'avocat en question. Il apporte des contre-arguments à la faiblarde rhétorique de maître Parra-Bruguière, dont une jurisprudence qui met par terre la plaidoirie du maître. Les internautes sont invités à informer maître Parra-Bruguière tout simplement en imprimant l'article et en le lui envoyant par la poste à son adresse professionnelle publique.
Et idem pour informer de même la conseillère municipale en charge du dossier, les habitants de la copropriété et l'association musulmane.


Il n'y a pas la moindre trace d'une volonté d'intimidation là-dedans.

Selon le journaliste, nos actions consisteraient en “Grosso modo (...) faire parvenir à ces « dhimmis » des captures d'écran ou des photos de mosquées accompagnées ou non de petits textes signifiant à leurs destinataires qu'ils étaient identifiés et ne seraient pas laissés en paix. Alors Me Parra-Bruguière a dit stop. « Pas par peur, mais pour marquer le coup. Ça suffit ! »

Sauf que pas grosso modo du tout ! Nous pensons que nos "petits" textes sont suffisamment pertinents pour bouleverser la stratégie d'un avocat et que la presse s'en fasse l'écho. Les arguments contre l'islam sont suffisamment éclairants pour qu'un avocat en vienne à comprendre que la cause de ses clients est indéfendable dans un état de droit (hormis peut-être par Maitre Vergès).

Nous précisons enfin que les adresses des destinataires des courriers sont publiques. Tout un chacun à le droit de se servir de données publiques pour dire ce qu'il pense des déclarations publiques d'un personnage public dans le journal même local d'un pays (encore) libre. C'est l'essence même des actions de type Amnesty International qu'adapte selon son sujet le Blog du Cochon Hallal et que la Dépêche du Midi qualifie en titre de "harcèlement". Le délit d'information n'existe pas en France, pas plus que le délit d'opinion. Mais pour combien de temps encore si les mosquées continuent à pousser au rythme actuel ?

Il y a cependant beaucoup plus grave que la diffamation du Blog du Cochon Hallal : le traitement qu'y subit l'avocat Maître A. Parra-Bruguière est en effet autrement pire, car le journaliste (professionnel ?) se prend les mots dans le tapis de la diffamation contre celui-là même qu'il cherche à défendre et réussit l'exploit de le couvrir de ridicule.

L'avocat des mahométans est décrit par la Dépêche du Midi ni plus ni moins que comme mal-comprenant : “Et puis il y a quelques semaines, la présidente de Ligue citoyenne, (...), le prévient que son nom circule sur les blogs d'une internationale d'extrême-droite assez nébuleuse.” Or on ne voit pas comment quelqu'un pourrait le prévenir de quelque chose qu'il a devant les yeux puisque les missives que nous proposons d'envoyer comportent de facto la mention de leur origine. Un avocat étant par définition une personne intelligente, il n'a besoin de personne pour trouver l'origine de missives qui comportent cette origine inscrite sur les missives elles-mêmes !
Ou alors on ne parle pas des missives du Cochon Hallal. Mais dans ce cas, pourquoi citer le Cochon Hallal ?


De la même manière, le journal écrit que “dans une lettre signée François Arouet, l'un de ces plaisantins lui écrit « On sait qui tu es, où tu loges »”, or il nous semble qu'une personne signant du véritable nom de Voltaire ne commettrait pas la sottise de menacer à mi-mot son destinataire, ce que Voltaire n'a jamais fait. Nous pensons donc là que le journaliste prête à l'avocat des propos mensongers qu'il n'a pas tenus ; car c'est bien connu, un avocat est une personne à la probité exemplaire qui ne ment jamais, et plus particulièrement en dehors des prétoires. Nous demandons à ce que cette lettre, si elle existe, soit rendue publique afin de dissiper le malentendu (transmettre au Blog qui publiera), si malentendu il y a.

Enfin en insinuant que pour toutes ces raisons l'avocat aurait porté plainte auprès du procureur de la République, le journaliste achève de ridiculiser l'avocat en le faisant passer pour une personne perdant son sang-froid et ne comprenant strictement rien aux courriers qu'il reçoit, or un avocat est par définition une personne sachant à la fois lire et garder son calme.

Ces procédés sont graves et portent atteinte à la réputation d'un avocat plein d'avenir, suffisamment pour que cet avocat trouve là, nous semble-t-il, matière à porter plainte contre la Dépêche du Midi pour diffamation, diffusion de fausses nouvelles et de rumeurs, atteinte à l'image personnelle et professionnelle.
Nous ne sommes cependant pas avocats. Et encore moins dhimmis.


Il n'y a pas lieu de s'étonner de tout cela car tout est possible quand un journaliste écrit “François-Marie Arouet, le vrai nom de Voltaire supposé islamophobe pour une pièce dans laquelle il s'en prend en fait aux Jésuites…”. Le pata-reporter oublie en effet que justement Voltaire choisit de dénoncer le fanatisme de certains chrétiens en prenant pour référence l'idéologie qui représente le mieux le fanatisme : l'islam. Ce journaliste-là est-il chargé d'informer ses lecteurs ou de les manipuler ? Car si l'islam n'est pas la cible principale de Voltaire - il faut dire que le mahométan n'est pas trop envahissant dans la France du XVIIIème siècle - le moins que l'on puisse dire c'est que l'écrivain ne porte pas la religion du pédoprophète dans son cœur, lui qui qualifiait le coran de "livre inintelligible qui fait frémir le sens commun à chaque page", de "rhapsodie sans liaison, sans ordre, sans art", de "recueil de révélations ridicules et de prédications vagues et incohérentes", ou de "livre mauvais pour notre temps et pour nous". Pour Voltaire, Mahomet était un "sublime et hardi charlatan", quant aux arabes il les qualifiait de "peuple qui, n’ayant rien à perdre, combat à la fois par esprit de rapine et de religion" (voir l'article Koran de son Dictionnaire philosophique). Il faut être journaliste à La Dépêche du Midi pour vouloir faire croire que Voltaire avait bonne opinion de l'islam et des mahométans.

Une explication possible néanmoins : une terrible troisième mi-temps de match de rugby de coupe du monde fortement arrosée durant laquelle l'obscur scribouillard aurait rédigé son article, confondant le cas du toulousain Robert Redeker, menacé par les amis de ceux que défend maître Parra-Bruguière, et le cas du toulousain Alexandre Parra-Bruguière, légèrement blâmé et surtout informé par les amis de ceux qui défendent Robert Redeker. Encore que l'on n'ait pas besoin de troisième mi-temps pour écrire n'importe quoi à la Dépêche du Midi.

Et s'il faut préciser les choses, Le Blog du Cochon Hallal n'apprécie aucunement les comportements islamiques et il se désolidarise totalement d'éventuels lecteurs qui s'autoriseraient de son nom pour menacer ou insulter telle ou telle personne.

Nous réclamons que ce droit de réponse paraisse dans la Dépêche du Midi afin de laver le pauvre Cochon Hallal ainsi trainé dans la boue, nous demandons à ce que ce droit de réponse - dont le procureur de la ville de Toulouse aura copie - soit assorti de l'extrait du Mariage de Figaro de Beaumarchais ci-dessous afin que les lecteurs de la Dépêche du Midi sachent dans quelle perspective se situe le Blog du Cochon Hallal et qu'ils sachent ce qu'ils sont en droit d'attendre d'un authentique journal : autre chose que des rumeurs de feuille de chou de troisième mi-temps.

***

Beaumarchais (1732-1799), Le Mariage de Figaro, V, 3


FIGARO : - (...) Est-il rien de plus bizarre que la destinée! fils de je ne sais pas qui; volé par des bandits! élevé dans leurs moeurs, je m'en dégoûte et veux courir une carrière honnête; et partout je suis repoussé! J'apprends la chimie, la pharmacie, la chirurgie; et tout le crédit d'un grand seigneur peut à peine me mettre à la main une lancette vétérinaire! Las d'attrister des bêtes malades, et pour faire un métier contraire, je me jette à corps perdu dans le théâtre; me fussé-je mis une pierre au cou! Je broche une comédie dans les moeurs du sérail; auteur espagnol, je crois pouvoir y fronder Mahomet, sans scrupule: à l'instant, un envoyé... de je ne sais où se plaint que j'offense, dans mes vers, la Sublime Porte, la Perse, une partie de la presqu'île de l'Inde, toute l'Egypte, les royaumes de Barca, de Tripoli, de Tunis, d'Alger et de Maroc: et voilà ma comédie flambée, pour plaire aux princes mahométans, dont pas un, je crois, ne sait lire, et qui nous meurtrissent l'omoplate, en nous disant: "chiens de chrétiens"! Ne pouvant avilir l'esprit, on se venge en le maltraitant. Mes joues creusaient; mon terme était échu; je voyais de loin arriver l'affreux recors, la plume fichée dans sa perruque; en frémissant je m'évertue. Il s'élève une question sur la nature des richesses; et comme il n'est pas nécessaire de tenir les choses, pour en raisonner, n'ayant pas un sol, j'écris sur la valeur de l'argent, et sur son produit net; sitôt je vois, du fond d'un fiacre, baisser pour moi le pont d'un château fort, à l'entrée duquel je laissai l'espérance et la liberté. (Il se lève.) Que je voudrais bien tenir un de ces puissants de quatre jours, si légers sur le mal qu'ils ordonnent, quand une bonne disgrâce a cuvé son orgueil! je lui dirais... que les sottises imprimées n'ont d'importance qu'aux lieux où l'on en gêne le cours; que sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur; et qu'il n'y a que les petits hommes qui redoutent les petits écrits. (Il se rassied.) Las de nourrir un obscur pensionnaire, on me met un jour dans la rue; et comme il faut dîner, quoiqu'on ne soit plus en prison, je taille encore ma plume, et demande à chacun de quoi il est question: on me dit que pendant ma retraite économique, il s'est établi dans Madrid un système de liberté sur la vente des productions, qui s'étend même à celles de la presse; et que, pourvu que je ne parle en mes écrits, ni de l'autorité, ni du culte, ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de l'Opéra, ni des autres spectacles, ni de personne qui tienne à quelque chose, je puis tout imprimer librement, sous l'inspection de deux ou trois censeurs. Pour profiter de cette douce liberté, j'annonce un écrit périodique, et croyant n'aller sur les brisées d'aucun autre, je le nomme Journal inutile. (...)


***

Nous suggérons d'informer les journalistes de la Dépêche du Midi que nous leur appliquons notre liberté de blâmer à leur journal inutile et que nous demandons la parution dans leurs colonnes de ce nécessaire droit de réponse. Nous suggérons aussi de porter les faits doublement diffamatoires à la connaissance du procureur de la République de Toulouse.

1.a. Imprimer cet article : les 3 premières pages = 1 feuille recto-verso + le recto d'une autre feuille. Option carte-postale disponible ci-dessous.
1.b. Imprimer au verso de la deuxième feuille la première page de l'opération SITA concernant la mosquée des Izards pour complément d'information (nous suggérons de réduire l'échelle de la page à 70 % à partir de votre navigateur d'imprimante si cela vous est possible)

2. Expédier le tout à

2.1. Un employé de la Dépêche du Midi choisi dans cette page (par exemple la personne dont le nom de famille est le plus proche du vôtre selon l'ordre alphabétique)


La Dépêche du Midi
Nom de la personne choisie
avenue Jean-Baylet
31095 Toulouse cedex
France


2.2. Le procureur de la République de Toulouse.


Monsieur le Procureur de la République
près le Tribunal de Grande Instance de Toulouse
Place du Salin - BP 7015
31068 TOULOUSE Cedex 07
France

3. Timbrer, tarif "20 grammes" de base (sept. 2007 : 0,49€ éco ou 0,54€).

Amis de l'étranger, vous êtes invités à participer à l'opération vous aussi. Voici une liste de quelques postes francophones où vous renseigner pour le timbrage : Belgique, Suisse ,Luxembourg, Canada, Maroc, Algérie, Tunisie, Monaco...

4. Référencer votre action au Sitathon.

5. Ne pas hésiter à parler de cette opération dans les forums, sites, chatrooms, blogs et à vous inscrire à la Newsletter - Alerte SITA pour être informé en temps réel des dernières actions.

Option carte postale Suggestion de texte : “Diffamations à gogo à la Dépêche du Midi : le Cochon Hallal devra-t-il aller en justice pour avoir droit à publication de réponse ?” Signature : le Blog du Cochon Hallal

... SITATHON OBJECTIF : 2000 ! Un timbre ? Une minute ? Action ! Diffuser et/ou voter et/ou bookmarker via Scoopeo, Fuzz, Diggit, Del.icio.us... :
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7 Comments:

  • At September 23, 2007 at 1:32 AM, Anonymous Anonymous said…

    Juste pour rétablir une petite erreur dans ce billet... ce ne sont pas deux journalises mais un seul qui a un prénom composé (J-L) et un nom composé (D-C). Malheureusement, ça ne rend pas son article moins diffamant pour ça!

     
  • At September 23, 2007 at 2:13 AM, Blogger Imam Grouik-Grouik said…

    Merci ! C'est corrigé.

     
  • At September 23, 2007 at 5:23 AM, Anonymous Anonymous said…

    J'ai habité Toulouse, j'ai cotoyé dans mon cadre professionnel les antres du quotidien historique de ''La Dépêche du Midi'', dont le siège est à Toulouse.
    Je me suis très vite rendu compte que c'est une maladie chronique là-bas, les ''journalistes'' de la Dépêche du Midi sont imbus de leurs personnes, ultra-chauvins jusqu'au ridicule, et comme il se doit, fils de X qui lui-même avait son papa radical dans le journal, qui lui-même était entré dans le journal via son ami député radical tarnais de l'époque, qui lui-même...
    Bref, ne nous étonnons pas de la pitoyable soupe que nous servent ces pigistes toulousains prétendus journalistes, désormais acquis à la cause de l'expansionnisme musulman de la ville prétendue rose qui vire au vert.
    Toulouse est en train de prendre la même voix que le Califat de Roubaix.

     
  • At September 23, 2007 at 6:58 AM, Blogger Charly said…

    La Dépêche du Midi le journal de la momocratie et organe officiel du politburo en Haute Garonne. Entre nous lisez plutôt les petites annonces de ParuVendu ou bien faites des mots croisés, vous ne serez pas moins informés. Au boulot!

     
  • At September 23, 2007 at 7:25 AM, Anonymous Anonymous said…

    BOUMMM ! En plein dans le mille

    Nous on continue nos actions.

    Kufar Guerilla
    Zone Est France

     
  • At September 23, 2007 at 12:30 PM, Anonymous Anonymous said…

    Qu’est-ce qui fait dire à ces journaleux (Belges et Dépêche du Midi) que nous sommes des extrêmistes ? On ne peut pas être contre les idéologies totalitaires, quelles qu’elles soient (de droite comme de gauche) sans tomber dans l’extrêmisme et le racisme ? elle est bien bonne celle-là ! Nous sommes libres de nous exprimer, cette liberté existe dans notre pays jusqu’à preuve du contraire et nous sommes libres d’informer qui veut bien nous lire ou nous entendre... Qu'on se le dise et en avant toutes !!!
    Marie35

     
  • At September 24, 2007 at 12:59 AM, Anonymous Anonymous said…

    23.09.2007
    La future mosquée de Boulogne

    C’est le Salon Beige qui rapporte l’information :

    Lors de sa séance du 12 juillet 2007, le conseil municipal UMP de Boulogne-Billancourt a voté (y compris le maire-adjoint MPF, D. Jalenques) l'attribution d'un bail emphytéotique pour l'édification d'un centre culturel et "cultuel" pour les Mahométans. Dans le compte-rendu de la séance, on peut lire (p.16) cet étrange aveu de M. Gaborit (gauche) :

    "Dernièrement, le tribunal administratif de Montpellier a annulé l'édification d'un lieu de culte en raison d’un bail emphytéotique assorti d’un loyer très faible qui s’apparentait à une subvention déguisée interdite par la loi. Sommes-nous dans cette situation ? Le loyer n'est pas à l'euro symbolique, et s’il est certes plus faible que ce que préconise le service des Domaines, il n’est pas dérisoire. Compte tenu de la durée du bail - 75 ans -, il est évident que la ville ne retrouvera pas son argent, mais l’objectif n’est pas de spéculer sur les terrains. Je vous rappelle que, même si nous devons être discrets sur ce sujet, le terrain vaut beaucoup plus cher que ce que dit le service des Domaines, mais n'abordons pas ce problème, puisque nous avons une évaluation. Compte tenu de ces éléments, nous pourrions aujourd’hui, considérer que juridiquement ce projet n'est pas valide."

    Ce n'est pas valide (donc hors-la-loi), il faut être discret, mais on vote quand même. On vit une époque épatante.

    Michel Janva

     

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